Aménagement d'une brasserie à Strasbourg.
C'est dans cette brasserie que Jérôme Hatt y brasse sa première bière en 1664.
Graphisme, Poste 4.
Aménagement d'un restaurant à Strasbourg.
Inspiré du film de Bertrand Blier, CALMOS.
Graphisme, Poste 4.
Aménagement de l'espace de dégustation et de vente de la pâtisserie SÉBASTIEN à Strasbourg.
Un marbre reconstitué, au dessin marqué, évoque le croquant d’un nougat ou la douceur d’un gâteau aux fruits confits. Référence directe à la générosité et la gourmandise des pâtisseries de Sébastien Gillmann.
Graphisme, Poste 4.
Aménagement du bar/restaurant à Strasbourg.
Thématique : Gin & saussices.
Graphisme, Poste 4.
© photo : Anne Milloux, Claude Gretillat
Signalétique du Centre d'Étude et de Conservation, Archéologie Alsace dans le cadre du 1% Artistique.
Lettrages en loess découpé au jet d'eau, peinture au pochoir.
Graphisme : Erwan Chouzenoux (Poste 4).
Architecture : W Architectures.
Sélestat, France, 2016
La lettre est au mot ce que le fragment découvert est à l’objet. En retirant certaines lettres, les mots apparaissent comme partiels, mais néanmoins identifiables. La lisibilité semble remise en cause mais n’est pas véritablement compromise : notre oeil, et celui des archéologues en particulier, retrouve sans difficulté les lettres manquantes. Comme des tessons chaque lettre comporte en elle une partie de la solution, formant un ensemble lisible et cohérent. La signalétique est réalisée dans un loess ayant subi une cuisson réductrice lui donnant sa teinte grisée, par analogie aux fragments découverts, analysés et conservés des archéologues.
Scénographie du stand Saint-Louis au salon Maison & Objet. Le cristal exposé dans sa forêt.
© photo : Benoît Tellier pour Saint-Louis + V8
Réaménagement d'une salle de réunion. Une table équipée pour accueillir une trentaine de personnes et un travail sur l'habillages des cloisons et rampants pour améliorer l'acoustique de l'espace.
© photo : V8 designers
Aménagement et conception de bureaux pour la société CHAPEAU CLAQUE.
© photo : Dorothée Parent / PASSE MURAILLE
Réaménagement de l'espace de dégustation et de vente. Cafés Reck, Strasbourg. Global Design / Graphisme Claude Grétillat, Poste 4. 2016.
Dans la boutique historique du torréfacteur, le réaménagement s'effectue en douceur : continuer l'histoire familiale, et permettre de proposer les nouvelles capsules, produites par le torréfacteur lui-même. Les mobiliers aux teintes cacaotées contrastent avec le marbre du comptoir et l'acier rutilant du percolateur, la lumière théâtralise les murs envisagés des tableaux noirs où le barista nous propose des origines exceptionnelles.
Restructuration et réaménagement d'un mas. Saint Rémy de Provence. Architecture : Benjamin Lestrat : Frög Architecture.
L'ancien mas est restructuré de façon a dégager des espaces généreux, permettant de recevoir ou de s'isoler. Le rez-de-chaussée est réorganisé pour s'articuler autour d'un espace de repas et de séjour, l'ancienne huilerie est transformée en bureau et chambre, dont la salle de bains à l'étage profite de toute la hauteur sous plafond.
Mobilier extérieur et intérieur pour LA GRANDE PLACE, Musée du Cristal Saint-Louis.
Ce mobilier, constitué d’assises intérieures et extérieures, s’inspire à la fois du contexte propre à la manufacture et des pièces qui en font l’histoire. Longtemps indispensable pour faire fondre la silice, le bois et la forêt sont les éléments fondateurs de l’identité de Saint-Louis. Pour cela, le mobilier est conçu à partir de billes de douglas brutes, à peine débardées. Le bois teinté de façon très sombre rappelle également l'épreuve du feu : pour faire du verre il fallait du feu, beaucoup de feu. Sur ces éléments bruts, un travail de taille fait opérer la magie de Saint-Louis, transformant ces rondins en mobiliers plus précieux. Les motifs géométriques ont été sculptés comme on taille le cristal, suivant les irrégularités des troncs, chaque fois uniques.
Construction et aménagement d'une maison de vacances. Saint Rémy de Provence Architecture : Benjamin Lestrat Frög Architecture.
La maison conçue comme une grande halle s'articule entre deux espaces clos, l'un ensoleillé, l'autre ombragé. Jouant la frontière fine entre l'intérieur et extérieur, l'espace de vie est largement ouvert sur son enclos. Un grand meuble contient les espaces plus privatifs salles d'eau et salle de jeu, et dessert les chambres donnant sur la cour ombragée.
Hall d'entrée et accueil de l'hôtel Gutenberg Strasbourg, 2016.
Réaménagement d'une entrée d'hôtel. Un travail sur les couleurs, le sol, les mobiliers ont donné à cet espace de nouvelles qualités d'accueil et une ambiance feutrée propice à la détente.
Commande de la Délégation Culture des Hôpitaux de Strasbourg
Nouvel Hôpital Civil de Strasbourg.
Près de deux cent interventions dans les couloirs et les salles d'attente de
l'Hôpital, qui ont pour vocation de permettre au patient et au visiteur de
mieux s'orienter (les teintes colorées découlent de celles des quatre
ascenseurs, et jouent un rôle de signalétique intuitive).
Les textes, présents sous formes de bulles sont phrases glanées en dehors de
l'hôpital et tente pendant quelques secondes de nous transporter ailleurs.
Penses à ramener du pain.
Des mobiliers informels complètent le dispositif.
Textes : Frédérique Ehrmann
Maitrise d'ouvrage : Christelle Carrier et Barbara Bay, Délégation à la Culture, Hôpitaux Universitaires de Strasbourg.
Réalisation : Médicis
2010.
Un meuble central qui regorge de fonctions, qui filtre, qui distribue, qui réchauffe, qui isole, qui ouvre, pour le plaisir d'une grande famille.
Projet réalisé en collaboration avec Frög Architecture.
Intervention sur la Place d'Austerlitz à Strasbourg.
2012
Sur l'invitation de l'agence Digitale Paysage, une déformation du sol évoquant dunes, tas de sable, ou montagnes, invitent jeunes et moins jeunes à s'approprier ce bout d'espace public.
Mandataire : Digitale paysage
Bureaux en médium teinté dans la masse, assemblés à mi-bois.
Deux objets massifs garés au milieu de l’espace qui peuvent accueillir
confortablement huit collaborateurs. Sans quincaillerie, les bureaux sont
maintenus par des assemblages à mi-bois créant une structure alvéolaire.Bruts,
en panneaux de mdf teinté dans la masse, ils se patinent au fil des tasses de
café, bouts de croissants et de mine de crayon.
Sur les côtés de grandes portes coulissantes en acier laqué permettent
d’afficher plans et croquis au moyen d’aimants. Un autre volume (en vert)
permet d’isoler la zone d’impression et de séparer un espace de réunion.
2009
Client : digitalepaysage.com
Le musée du verre présente les techniques verrières, de la fusion de la matière, aux décors taillés, gravés, émaillés. L’ensemble est traité comme un “musée-atelier”.
Les objets techniques sont disposés sur des caisses d’emballage sophistiquées en sapin brut et sont accompagnés de gobelets qui présentent à chaque fois les étapes de fabrication. Le savoir-faire ne réside pas dans ces outils, mais dans la main et l’œil des verriers qui ont façonné l’histoire de la verrerie. Ils en sont simplement les témoins. C’est pourquoi ils sont disposés de façon brute sur des socles, comme s’ils attendaient d’être utilisés. Le musée n’est pas sanctuaire mais un espace didactique, témoin de l’activité qui animera la verrerie jusqu’à la fin des années soixante, prête à repartir... Le long des murs, des pièces issues de la verrerie de Meisenthal, sont présentées sur des étagères en acier galvanisé, protégées par de grandes baies en verre. L’étage, qui présente une partie de la production d’Emile Gallé à Meisenthal, fait partie d’une phase future de travaux.
Musée du Verre de Meisenthal (F-57)
Graphisme : Stéphane Riedinger
Illustrations didactiques : Bastien Massot
Réhabilitation, transformation d'un appartement avec
Benjamin Lestrat architecte.
Client privé,
2009
Signalétique temporaire du château de Lichtenberg pendant les travaux de réhabilitation.
Le château de Lichtenberg est à proprement parler une forme vivante d’architecture. Plus qu’une ruine figée, les diverses mutations qu’il a subit en termes d’usages se manifestent en termes de structures. Les modifications apportées aux bâtisses se lisent dans une succession et un enchevêtrement de strates et de détails. Ces détails que l’on ne remarque que par une lecture attentive du lieu, comme l’empreinte du donjon du XIIIe siècle, les frontons renaissance du pavillon des dames, les contreforts de l’arsenal et enfin les dernières introductions d’architecture contemporaine, permettent de lire l’histoire mouvementée du lieu, comme autant de cicatrices, d’amputations, de greffes, de prothèses. On dépasse les questions d’esthétique, l’enjeu est de maintenir le lieu en vie, voir de le réanimer. coriace, le château a résisté aux brûlures de 1870, aux velléités d’euthanasie proposées par Vauban le décrivant comme un trou bon à raser. Aujourd’hui sa reconversion en pôle culturel le réveille de son coma. C’est cette histoire mouvementée, riche de transformations qui fait le patrimoine du château. nos observations nous conduisent à proposer au contraire d’une forme figée, une forme en mouvement, en mutation : des pansements évolutifs collés à l’architecture, épousant les différentes géométries du château. La signalétique a un caractère provisoire et temporaire, elle n’est là que pour aider à la guérison. elle joue un rôle symbolique comme le plâtre qu’on se fait dédicacer par ses amis, pour mieux supporter la convalescence, et fait de ce temps de chantier un événement. Le château exhibe fièrement ses pansements, preuve qu’il n’est plus à l’agonie mais que la rémission est proche : une fois ses pansements enlevés, il aura enfin cicatrisé après plusieurs années d’acharnement thérapeutique.
Graphisme : Stéphane Riedinger
Client : Parc des Vosges du Nord
Réaménagement du caveau de la cave de Ribeauvillé, espace de vente et de dégustation.
Plus ancienne coopérative vinicole de France, la Cave de Ribeauvillé est
considérée comme une des meilleures caves alsaciennes.
L’espace est structuré par un comptoir en chêne clair pour mieux apprécier les
qualités des vins blancs d’Alsace. Sa forme à la fois charpentée et complexe
se déploie de l’accueil aux caisses en passant par un généreux comptoir de
dégustation.
En face un dispositif très orthogonal répond de manière efficace à
l’incroyable diversité de la production de la cave. Les bouteilles destinées à
la présentation sont prises en berceau dans un épais plateau de bois, tandis
que les autres sont disposées à l’abri de la lumière. Les productions
marginales sont exposées dans des petites vitrines jaunes, par souci de
cohérence avec la charte graphique de la Cave.
Au fond de l’espace un mur de terre composé de quinze panneaux exprime la
diversité des terroirs.